domingo, 9 de octubre de 2011

Sociedad epicúrea y la buena comida francesa

Source
En 1816, le poète Joanny Carmouche, membre de la Société épicurienne de Lyon qui réunit les fins gourmets, laisse ces vers19 :
« Les desserts se mangent,
Les couverts se rangent,
Les femmes s'arrangent...
Au quai, l'on arrive,
Un marmot s'esquive
(sans payer le pont !)
Très loin de Rivière,
La classe ouvrière
Rôtir des poulets...
Mais chacun demande :
Quelle est cette bande
Que Bacchus commande ?
- Ce sont des vauriens,
Fuyant la rivière,
Qui, là, chez Rivière,
Tous les mois vont faire
Les Épicuriens. »
Stendhal, de passage à Lyon en 1837, évoque la cuisine lyonnaise20 :
« Je ne connais qu'une chose que l'on fasse très bien à Lyon, on y mange admirablement, et, selon moi, mieux qu'à Paris. Les légumes surtout y sont divinement apprêtés. À Londres, j'ai appris que l'on cultive vingt-deux espèces de pommes de terre ; à Lyon, j'ai vu vingt-deux manières différentes de les apprêter, et douze au moins de ces manières sont inconnues à Paris »

No hay comentarios.:

Publicar un comentario